Jean-Joseph Renaud
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Naissance | Paris 9e, France |
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Décès | (à 80 ans) Suresnes, France |
Activité principale | Romancier, essayiste, dramaturge, traducteur |
Langue d’écriture | Français |
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Jean-Joseph Renaud (Paris 9e[1], - Suresnes, [2]) est un fleurettiste et écrivain français.
Ses nouvelles et romans sont publiées sous le nom de Jean Joseph-Renaud et il utilise aussi les pseudonymes Jean Carmant et Jean Cassard[3].
Biographie
En 1922, il reçoit pour l'ensemble de son œuvre le premier prix Maurice-Renard[4].
Pendant l'Occupation, il signe plusieurs critiques littéraires dans le journal collaborationniste Paris-Midi[réf. nécessaire]
Œuvres
Romans
- Le Cinématographe du mariage, 1897
- Notre-Dame de Cythère, 1900
- Le Chercheur de merveilleux, 1907
- L'Enlizé du Mont-Saint-Michel, 1909
- avec Éloy Alary, Les Doigts qui parlent, 1917
- Du sang sur la ville, 1920
- Sur le ring, 1921
- La Vivante épingle. Une veillée. Judith, 1922
- La Valse d'or, 1924
- Un mystérieux message, ill. Raymond Pallier, 1924
- Les Barbonnes, 1926
- Orchidée, danseuse, 1927
- Les Deux idoles, 1932
- L'Épingle verte, 1934
- La Dame aux yeux verts, 1936
- La Cascade rouge, 1938
- La Torche noire, drames exotiques, nouvelles, 1939
- Le Violon fantôme, 1938
- Le Losange rouge, 1941
- Le Mystère de la rue Brunel, 1941
- Tragique énigme, 1943
- L'Affaire de l'escarboucle, 1944
- L'Épingle de jade, 1946
- Une carrière d'actrice, 1948
- Le Pendentif rouge, 1948
- Le Triangle bleu, 1948
- À bord de l'Éros, 1950
Théâtre
- Après les obsèques, 1902
- Chou-Blond, 1905
- avec Maurice Level, Lady Madeline, drame en 1 acte, d'après E. Poë, 1908
- Le Coquelicot, drame en 5 actes (d'après Le Mouron rouge de la baronne Orczy), 1912
Essais
- La Faillite du mariage et l'union future, 1899
- Méthode d'escrime à l'épée, vers 1905
- Le Catéchisme féministe, résumé de la doctrine sous forme de réponses aux objections, 1910
- L'Escrime : fleuret, par Kirchoffer ; épée, par J.-Joseph Renaud ; sabre, par Léon Lécuyer, Larousse, 1911
- L'Escrime, P. Lafitte, Sport-Bibliothèque, 1911
- La Défense dans la rue, préface de Marie-François Goron, 1912
- Traité d'escrime moderne, 1928[5]
Notes
- ↑ Archives en ligne de Paris 9e, année 1873, acte de naissance no 115, cote V4E 3495, vue 15/33 (avec mention marginale de décès)
- ↑ Jean Joseph-Renaud, notice de la Bibliothèque nationale de France.
- ↑ Patrick Ramseyer, « Le Coin des pseudonymes et autres compléments biographiques (3ème épisode) », Le Rocambole, nos 83/84, été-automne 2018, p. 335
- ↑ Fleur Hopkins, « L'histoire du prix Maurice Renard (1922-1932) », Rocambole, no 85, , p. 141.
- ↑ Jean Joseph Renaud, biographie et bibliographie.
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Liens externes
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