Membre du Groupe de Corre, réfractaire au Service du travail obligatoire (STO), Francs-tireurs et partisans (FTP) au mois de juillet 1943. Fusillé en avril 1944[17].
Membre du « Groupement Résistance du 13e RAD » dont les groupes de combats sont ensuite rattachés au réseau Organisation civile et militaire (OCM), colonel FFI
Résistant radio à Aulnat (Clermont-ferrand). Renseignait les Anglais sur leurs bombardements de l'usine Michelin.
Arrêté par la milice française et déporté à Buchenwald en août 1944 et les mines de sel de Stassfurt. Revenu vivant. A dirigé l'aéroport de Saint Jacques, à Rennes. Puis a vécu à Langrolay sur Rance. Il est mort en 1996.
Croix de guerre. Médaille de la résistance. Légion d'honneur.
Député de la XVIe de la législature de la Troisième République, fait prisonnier par les allemands, il ne peut participer aux votes contre les pleins pouvoirs de Pétain, il est libéré pour des raisons de santé et rejoint la résistance. En juillet et août 1945, il est juré au procès de Pétain devant la Haute Cour de justice.
Agent de liaison FFI du secteur Ouest Haute-Vienne (Maquis du Limousin) Sergent de la Résistance à titre Posthume. Plus jeune résistant connu de France
Membre de l'Organisation spéciale, responsable du secteur Sud de Paris. Responsable militaire des FTP pour la région P1 (Île-de-France), puis chef FTP en Poitou-Anjou. Membre de l'état-major des FFI de l'Île -de-France, puis chef régional des FFI. Membre du poste de commandement de la 1re armée.
Adjoint en mai 1942 puis chef de l'Organisation civile et militaire en région B, il quitte la région en août 1943 pour rejoindre Madrid puis Londres. Engagé dans les Forces Françaises Libres à Londres le 20 septembre 1943 et désormais lieutenant-colonel, Rollot intègre le Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) qui va devenir la Direction générale des Services spéciaux et rejoint Alger au début de l’année 1944 où il est chargé du renseignement pour le sud-ouest. De retour en France à la suite du Débarquement et désormais colonel, il est alors membre de l’État-Major Général en juillet 1944 puis nomme général de Brigade et Gouverneur militaire du Palais du Luxembourg de 1946 à 1947.
Membre du mouvement Libération-Sud. Chef de l'Armée secrète pour la région R4 (Toulouse). Chef des FFI pour la région R5 puis de la 12erégion militaire (Limoges).
Victor Roux[35],[36],[37]
Lieutenant l'Armée Secrète, groupe Périclés; instructeur puis chef de groupe à LYON.
Chef départemental de l'Armée secrète des Pyrénées-Orientales. Créateur des groupes francs de la région R3 (Languedoc-Roussillon-Aveyron). Lieutenant-colonel FFI.
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↑Son acte de décès porte la mention " Mort en déportation" J.O.R.F. du 9 décembre 1994, page 17491
↑Roux Victor, Germain, dit Cossieux, Lieutenant des ex-Forces Françaises de l'Intérieur: dès 1943, instructeur à l'École des cadres du maquis du Jura, accomplit plusieurs missions à travers la frontière suisse. Arrêté le 3 mars 1944 à Lyon, torturé, sait se taire. Mort à Ellrich-Farance, laisse l'exemple d'une vie de droiture vouée jusqu'à son terme à la résurrection du pays.
↑ ab et cJean-Pierre Husson et Jocelyne Husson, Association Pour un Maitron des Fusillés et Exécutés, « SCOTET Jean, Louis, dit Joseph [Pseudonyme dans la Résistance : Job La Mitraille] » (consulté le ).
↑Georges-Michel Thomas et Alain Le Grand, Le Finistère dans la guerre, vol. 2, éditions de la Cité, , p.145.